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le sport à KAYSERSBERG

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6 juin 2022

la Lézardière est ouverte !

Madame, Monsieur, chères collègues, chers collègues, clients, clientes, fournisseurs, amies, amis

C'est avec un grand plaisir que nous vous annonçons l'ouverture des chambres d’hôtes de la Lézardière, que vous pourrez découvrir sur le site Internet : https://www.lalezardiere-bretonne.com/ . après plus de 6 mois de travaux ,nous sommes très heureux de vous faire découvrir notre coin de paradis. C’est avec beaucoup de bonheur que nous vous accueillerons chez nous.

Au plaisir de vous rencontrer ! 48.003892, -2.663218

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28 juin 2016

LE BLOG EST EN SOMMEIL......

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7 juin 2016

FOOT POUR TOUS.....

Du 6 au 11 juin, Kaysersberg accueillera la 6e édition de la Semaine du Foot pour tous, parrainée par Gilbert Gress. Des portes grandes ouvertes sur un sport qui est bien plus que les tristes spectacles donnés en haut-lieu.

  

                       

Echanges et respect : c’est Foot pour tous ! Comme ici à Bischwiller en 2015. DR

 « Le foot, ce n’est pas que des vedettes qui courent sur un rectangle de gazon », dit un des animateurs de ce formidable élan de générosité. L’idée est née il y a des années déjà, s’amplifiant à chaque édition. Francis Willig, vice-président de la Ligue d’Alsace Football Association (LAFA) avait alors su rallier des amis et des responsables à son envie de faire se rencontrer toutes les facettes du football alsacien.

C’est l’occasion de mettre en lumière les discrets clubs de joueurs handicapés et leurs animateurs dévoués. Henri Stoll, maire de Kaysersberg Vignoble, souligne toute la pédagogie de cette superbe entreprise : « Le don de soi, la solidarité, le respect, l’humilité et la loyauté ». Sans aucun esprit de compétition les joueurs, « libérés de leurs différences, de leurs préjugés, du poids des regards, ils pourront s’exprimer de manière ludique et dans la bonne humeur », ajoute-t-il.

En partenariat avec Handisport et Sport adapté, la LAFA veut ainsi contribuer à la bonne image du football alsacien, dans un esprit de solidarité, d’égalité et de respect. Cette semaine intense sera préparée et encadrée logistiquement par les Sports Réunis de Kaysersberg, présidés par Daniel Haxaire, et soutenue par de nombreux sponsors de la région.

Une semaine de foot, le programme

u Lundi 6 juin, 19 h 30, au Badhus : conférence-débat De l’Euro 2016 au Foot pour tous avec Gilbert Gress, Raphaël Voltz et Lucas Ignatowicz.

u Mardi 7 juin, 19 h 30, au stade Aiolfi : tournoi entre équipes de joueurs handicapés et valides.

u Mercredi 8 juin, 10 h – 16 h : finales régionales des établissements spécialisés ITEP. A 14 h 30 : foot-fauteuil. De 19 h à 21 h : soirée des gardiens de buts avec Alex Bendel (ancien gardien du Racing). Rencontre d’anciens dirigeants de la LAFA.

u Jeudi 9 juin, 10 h : match « un ballon pour l’insertion ». De 10 h à 15 h : finales régionales du football adapté. A 19 h : foot diversifié interentreprises.

u Vendredi 10 juin, 8 h 30 – 11 h 30 : fête du Sport et des Ecoles (eco-foot, Cécifoot, parcours santé…). De 14 h à 17 h : finales régionales des Sections Sportives (Beach Soccer).

u Samedi 11 juin, 14 h – 17 h : plateau de jeunes. Journée nationale des débutants. A 15 h : Foot Fauteuil, Walker Foot et Cécifoot. A 17 h 30 : finales Coupe d’Alsace Foot Entreprises. A 19 h : finales d’Alsace Vétérans à 8 et 11.

 

6 juin 2016

LES QUILLEURS DANS LES DNA.....

Du 15 au 17 mai s’est disputée en Croatie, à Navigrad, la coupe du monde individuel des U18 (cadet). Yann Hugele, cadet évoluant au club de quilles Amitié Kaysersberg, a été le seul Français qualifié pour y participer.

                       

Au centre Yann Hugele. A sa gauche Clarisse Huot et à sa droite, Mélanie Dieffenthaler. PHOTO DNA

En qualification, il a obtenu avec 578 quilles la deuxième place et s’est qualifié pour la finale du lendemain. Hélas, il n’est pas parvenu à rééditer l’exploit de la veille et a terminé à une honorable huitième place avec 539 quilles. La première place revenant à un Allemand avec le score incroyable de 652 quilles pour 120 jets.

Les jours suivants, se sont disputé les championnats du monde en tandem mixte des U23 (junior), Yann Hugele étant alors associé à Clarisse Huot, du club de la Vallée Foncegrive en Côte d’Or. Le duo a facilement passé le premier tour contre une équipe du Monténégro. En quart de finale, il a fallu faire trois jets en or pour s’imposer face aux Serbes ; également en demi-finale face aux Slovènes, les jets en or ont été nécessaires. En finale, hélas, le duo autrichien a été le plus fort et Clarisse et Yann ont dû se contenter de la médaille d’argent. Une très belle performance quand même pour les jeunes Français, puisque le jour même, Mélanie Dieffenthaler, du club de Soultz-Sous-Forêts, en sprint féminin, a remporté la médaille de bronze.

De retour à son domicile, Yann a suivi le reste de la compétition par internet, les championnats du monde de sprint masculin et féminin, où deux médailles ont été remportées par Frédéric Koell, du Racing club de Strasbourg, qui termine vice-champion du monde derrière un certain Villmos Zavarko, de Serbie, le numéro 1 mondial dans le domaine des quilles classic et Gwennaelle Adler, de l’Amicale des Egoutiers de Strasbourg, la médaille de bronze en sprint féminin. Avec ces cinq médailles pour la délégation française, le sélectionneur national Gérard Janus a fait le bon choix parmi les prétendants à cette compétition. Félicitations aux médaillés.

2 mai 2016

MERCI LE KABCA !!!!!! articles des DNA du jour......

Trophée Coupe de France - Kaysersberg s’adjuge le titre face à Rennes (85-65) à Paris-Bercy Comme dans un rêve

Ils ont récité la partition parfaite le jour J. Portés par un duo Berquier – Cabarkapa d’exception (59 d’évaluation à eux deux), les Kaysersbergeois ont surclassé Rennes, samedi à Paris-Bercy, en finale du Trophée Coupe de France. La célébration s’est prolongée jusque tard dans la nuit...

 

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Magnifiques vainqueurs du Trophée Coupe de France, les Kaysersbergeois sont sur un nuage. PHOTOs DNA – Laurent Habersetzer

Même dans leurs rêves les plus fous, ils n’avaient sans doute pas imaginé un tel scénario. Euphoriques, presque possédés par moments, les Kaysersbergeois ont littéralement réduit en miettes la pauvre équipe de Rennes, samedi à l’AccorHotels Arena de Paris-Bercy, devant une colonie de 400 supporters aux anges. Parce qu’il a su mettre le feu au parquet, au cours d’une première mi-temps proprement irréelle (41-15, 16e ), le KABCA s’est offert le droit de vivre un conte de fées de quasiment 40 minutes, dans l’enceinte la plus majestueuse de l’Hexagone.

« C’est le plus grand jour d’une bande de potes »

Six ans après avoir échoué au même endroit, face aux espoirs de Pau-Orthez, le club haut-rhinois a peut-être écrit le plus beau chapitre de son existence. « Ce n’est pas à moi de le dire, répond modestement Fabien Drago, l’entraîneur de ‘‘ KB ’’. C’est le plus grand jour d’une bande de potes et de dirigeants qui bossent ensemble depuis des années. Mais il y en a eu d’autres avant nous. On ajoute juste une page à l’histoire de ce club qui est magnifique… »

Les Alsaciens se sont, surtout, forgé des souvenirs pour très longtemps. Et pour cause, le récit de cette finale du Trophée Coupe de France se résume à une succession d’images fortes. Deux hommes, Willy Berquier et Sreten Cabarkapa, se sont mués en pourvoyeurs d’émotions.

Le premier, doté d’une qualité de dribble exceptionnelle, d’un œil de lynx et d’un shoot à trois points dévastateur, a rendu une copie magistrale : 24 points, dont 4 sur 9 à longue distance et un carton plein aux lancers francs (8 sur 8), 5 passes décisives, 3 interceptions et 10 fautes provoquées pour 29 d’évaluation.

Le second, poste 4 moderne formé à l’école des Balkans et capable de dégainer dans toutes les positions, a compilé 19 points et 13 rebonds pour une note finale de 30. Du grand art.

« Dans ce club, on sait partager les émotions »

Et comme les lieutenants se sont mis au diapason, Rennes n’a tout simplement pas existé dans cette rencontre, emporté par une tornade rouge venue de l’Est. Alley-oops, dunks et tirs improbables : on se serait cru, par séquences, à un show des Harlem Globetrotters ! « Quand l’adresse est au rendez-vous, on sait qu’on est difficilement jouable », sourit Fabien Drago.

Les fans, eux, ont pris un pied immense, jusqu’à en avoir les larmes aux yeux. Mais il faut venir au moins une fois à la salle Théo-Faller de Kaysersberg pour comprendre l’attachement viscéral qui lie la population du vignoble à cette équipe. Quand on joue à ‘‘ KB ’’, on ne quitte jamais le terrain sans y avoir laissé ses tripes…

En soulevant le trophée, privilège réservé au capitaine, Willy Berquier s’est délecté de cette ferveur, tandis que les inconditionnels reprenaient en chœur le refrain éternel du groupe Queen : « We are the champions ». « J’ai l’impression que les supporters ont fait du bruit », s’amuse le meneur du KABCA, encore sur son nuage. « Les voir si contents, ça nous fait chaud au cœur. »

« Je suis tellement fier qu’on ramène ce trophée à la maison »

« Dans ce club, on sait partager les émotions », résume Sreten Cabarkapa.

Confirmation quelques heures plus tard, dans un bar très fréquenté de la capitale, au cœur de Bercy Village. En compagnie d’une poignée de partenaires et de bénévoles, les Alsaciens, médailles d’or autour du cou, ont enflammé une autre salle, plus confinée celle-là, jusqu’à 4h du matin. Au menu : bières, mojitos, cheeseburgers et cris de guerre à la gloire de ‘‘ KB ’’.

Inondé de messages de félicitations, Fabien Drago a volontiers fermé les yeux sur cette légère entorse aux prescriptions alimentaires. « Je suis tellement fier qu’on ramène ce trophée à la maison, confie l’entraîneur haut-rhinois. Les mecs ont été énormes, tous. Ils se sont sacrifiés et ont prouvé qu’ils avaient du cœur. C’est fabuleux. »

Magique même. De par leurs qualités humaines, ces garçons-là font honneur au sport tel que les gens l’aiment…

« Le cœur a gagné »

 

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 « Le cœur a gagné »

u Fabien Drago (entraîneur du KABCA) : « On avait un plan de bataille. On l’a mis en place intelligemment, en restant unis. Ce soir (lire samedi) , le cœur a gagné. On s’est battu sur toutes les balles. On a pu compter sur un grand Willy (Berquier) et un grand Sreten (Cabarkapa). Ce qui nous fait tenir, c’est la défense et l’adresse. L’équipe a su faire bloc. On voulait à tout prix désacraliser l’événement, rester dans notre bulle et faire fi de tout le reste. Mais je me garderais bien de dire que le scénario était prévu… Intérieurement, je n’étais pas bien du tout avant le match. Cette victoire est un gros soulagement. »

u Willy Berquier (meneur du KABCA) : « Je suis très fier de tout le monde. J’étais très content d’être là, mais j’étais aussi très inquiet car on aurait pu se faire bouffer par l’événement. La salle, le contexte… Potentiellement, beaucoup de choses pouvaient nous distraire. C’est la troisième fois que je viens à Bercy. J’avais déjà remporté la Coupe de France à deux reprises avec les cadets France du Mans. Jouer dans cet endroit, ce n’est un bon moment que si on gagne. Si on avait perdu, le trajet retour aurait été très long… »

u Sreten Cabarkapa (intérieur du KABCA) : « On a respecté l’adversaire et on n’a jamais douté. Ce Trophée Coupe de France est une très belle aventure que l’on a débutée en septembre. Pendant que les autres étaient en week-end, nous, on jouait. On a commencé tout en bas, par la phase régionale. On a vraiment mérité ce trophée. C’est l’un de mes plus beaux moments de basketteur, avec le titre de champion de France de N2 que j’avais décroché avec Bayonne. Gagner une finale, c’est la meilleure chose qui puisse arriver à un joueur. Si Kaysersberg veut encore de moi la saison prochaine, je serai là (sourire). »

u Baptiste Cransac (ailier du KABCA) : « Beaucoup d’émotions arrivent en même temps, tout est confus, on commence seulement à réaliser la portée de ce qu’on a fait. Dès le début du match, quand après treize minutes tu es à + 18, tu sens que tu peux faire quelque chose de grand. Ensuite, il suffit de tenir et de rester concentré. Mais c’est souvent le plus difficile. »

u Jean Freyburger (arrière du KABCA) : « C’est fabuleux, c’est énorme, on en rêvait et on l’a fait. C’était le match parfait alors que tout le monde dans le milieu du basket nous donnait perdants. Rennes, c’est costaud, ça joue les play-offs de N2. Mais on a vu qu’il y avait quelque chose à faire et on n’a rien lâché. Le fait qu’on ait perdu ici il y a six ans (il n’avait pas joué la finale face aux espoirs de Pau mais le huitième de finale face à Mirecourt, ndlr) , Fabien (Drago, le coach) nous en a beaucoup parlé. On a travaillé l’aspect mental et on a respecté notre plan de bataille en contrôlant Zivkovic et Ben Driss. On a fait ce qu’on avait à faire. »

u Pascal Thibaud (entraîneur de Rennes) : « La clé, c’était de limiter Berquier et Cabarkapa, les deux joueurs d’impact de Kaysersberg. On n’a pas du tout réussi. Le basket a été créé pour être un sport d’adresse, félicitations aux Alsaciens de nous l’avoir montré. Dans la fluidité offensive, il n’y a pas eu photo. On a été tétanisé par l’enjeu et par la qualité de l’adversaire. Nous sommes quand même très heureux de notre parcours. Beaucoup de monde aurait aimé être à notre place ce week-end. Cette rencontre à Bercy a donné lieu à une belle fête en tribunes. Dommage qu’on n’ait pas pu proposer une opposition un peu plus consistante… »

Propos recueillis par Am.P. et J.-T.W :

 

Leçon retenue

Kaysersberg a construit sa victoire en première mi-temps grâce, notamment, à une adresse extérieure insolente. Avant de contrôler le match après le repos.

 

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PHOTO DNA - Laurent HabersetzerDans le sillage de Willy Berquier (en rouge), le KABCA a su forcer son destin.

Le rêve avait tourné court, il y a six ans, après un premier quart-temps catastrophique. Les Kaysersbergeois avaient perdu leur finale face aux espoirs de Pau avant même de l’avoir jouée. Ce qui avait attisé la frustration en plus des regrets qu’ils imaginaient éternels. Jusqu’à ce que l’histoire balbutie.

Fabien Drago en avait d’ailleurs fait des cauchemars, les vieux démons étant venus le hanter avant cette nouvelle opportunité pour son club de briller à Bercy. L’entame de match allait être cruciale. Il n’allait pas falloir entrer timidement dans cette finale. Le coach haut-rhinois avait d’ailleurs privilégié le muscle et la taille dans son cinq de départ – Berquier, Cransac, Cabarkapa, Gaillou, Avramovic – pour répondre aux grands gabarits bretons. Une option, au final, rapidement abandonnée.

« On était parti dans l’idée de brouiller les cartes, de ne pas les laisser entrer dans le match. On pensait qu’ils devaient s’attendre à un cinq plus classique, explique le coach alsacien. Mais comme on ne marquait pas, j’ai changé de stratégie. Et le banc nous a beaucoup apporté, surtout en défense. »

‘‘ KB ’’ reçu avec mention

Dans une configuration plus tonique, le KABCA ne s’est pas pour autant privé d’aller défier les Rennais dans la raquette. Mais son salut allait venir d’un secteur plus aléatoire : l’adresse en périphérie. Qui a dit que ‘‘ KB ’’ n’était pas à l’aise à l’extérieur cette saison ? Blague à part, la prise de risque alsacienne a payé dans des proportions que les Rouges n’auraient peut-être même pas imaginées face à des Bretons qui se sont éteints à petit feu.

Le passage irréel de Berquier, Walter (à deux reprises) et Cabarkapa derrière l’arc a permis de creuser un premier écart (21-7, 10e ). Un écart déjà rédhibitoire mais cela, évidemment, Kaysersberg ne pouvait encore l’imaginer. Mais de l’autre côté des lattes, l’adresse sera restée trop fluctuante tout au long de la partie.

« On a bien fait bouger la balle et notre défense nous a aussi bien aidés, raconte l’ailier Kevin Walter. Le match bascule avec notre réussite à trois points. Ça nous a grandement facilité la tâche. Car derrière, pour Rennes, courir derrière le score, ce n’est pas évident. »

L’entreprise de destruction massive a donc repris en début de deuxième quart-temps. Appliqués, voire cliniques, les Alsaciens ont réduit en cendres l’édifice rennais. Schaal et Berquier ont joué avec délice les pyromanes à longue distance et l’opposition a alors pris des allures de correction (41-15, 16e ). D’autant plus que la doublette Cabarkapa-Gaillou n’a pas laissé sa part aux chiens dans la peinture pour prendre des rebonds (dix à la pause dont cinq offensifs) et offrir des secondes chances. « Ce moment d’euphorie, on savait qu’il arriverait. On ne savait pas si on serait devant ou derrière à ce moment-là, mais il fallait qu’on le fasse durer le plus longtemps possible, détaille Willy Berquier, stratosphérique pour sa troisième venue à Bercy. Le plus dur, c’était ensuite de gérer l’avantage. Et tout le monde a su apporter sa pierre à l’édifice comme lors des précédents matches de Coupe de France. »

Le 10-0 breton initié juste avant la pause ne changera rien à l’affaire. Comme une seconde période où l’adresse extérieure des Vignerons – 50 % de réussite à la pause, 38 % à l’issue du match – a laissé la place à un jeu plus agressif vers le panier, Rennes payant sur ses replis ses efforts consentis pour revenir dans le match. En somme, le KABCA a fait à l’URB 35 ce que les espoirs palois lui avaient fait six ans plus tôt en tuant le suspense après un bon quart d’heure passé sur le parquet. ‘‘ KB ’’ avait bien retenu la leçon. L’explosion de joie lorsqu’a retenti le buzzer était celle d’écoliers consciencieux qui venaient de passer avec succès un examen. À Paris, pour la plus belle victoire de l’histoire du club, les Kaysersbergeois ont même été reçus avec mention.

Rugir de plaisir

Ils étaient plusieurs centaines à avoir fait le déplacement à Paris, samedi, pour assister au triomphe de Kaysersberg en finale du Trophée Coupe de France. Les supporters ont été à la hauteur, en tribune, de la prestation réalisée par leurs joueurs sur le parquet.

 

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Comme un match dans le match. Alsaciens et Bretons ne se sont pas affrontés que sur le parquet de l’AccorHotels Arena, samedi, lors de la finale du Trophée Coupe de France de basket-ball. Dans les tribunes, aussi, la rivalité entre Kaysersberg et Rennes s’est fait sentir dans une joyeuse cacophonie.

Toute de rouge vêtue, l’armée haut-rhinoise, composée de plusieurs centaines de fidèles suiveurs partis en bus le matin même pour rejoindre la capitale, a d’abord sagement assisté à la finale féminine entre Roanne et Sannois Saint-Gratien en guise d’échauffement avant d’entrer dans le vif du sujet.

Une première mi-temps de rêve

Car lorsque les Vignerons sont apparus sur les lattes de Bercy, c’est un déluge de décibels qui les a accompagnés, de l’échauffement jusqu’à la consécration en début de soirée. Cornes de brume et grosses caisses ont accompagné les encouragements très sonores qui ont rythmé, notamment, une première mi-temps de rêve achevée avec 18 points d’avance pour « KB » (47-29).

Cette victoire historique à portée de mains a galvanisé les troupes alsaciennes qui ont peu à peu éteint les fans rennais puisque les Rouges se sont montrés irrésistibles sur le parquet. Lorsque le buzzer a retenti, une joie intense a envahi les rangs kaysersbergeois. Les embrassades furent nombreuses, quelques larmes ont coulé aussi. Quant aux smartphones, ils étaient de sortie pour immortaliser la communion entre joueurs et supporters extatiques. Un moment magique qu’ils n’oublieront pas de sitôt.

Le retour des héros

Ils ont gagné ! C’est dans un mélange d’allégresse et de saine fatigue que les supporters ont accueilli les joueurs du KABCA, vainqueurs de la Coupe de France de basket. Tout cela pendant l’organisation de la marche gourmande du club.

 

PHOTO 1

La Coupe de France trouvera une place au milieu des trophées de la buvette. PHOTO DNA - JFT

Devant la salle Théo-Faller , Manu Arnoux tire nerveusement sur une cigarette, le micro à la main. Le micro, chez lui, c’est une habitude : il est le speaker du club et il est de tous les coups. Sauf celui-là. « Je travaillais. Je n’ai pas pu aller avec eux. »

Mais les regrets sont vite balayés puisque ses amis, les joueurs du KABCA, ont remporté la Coupe de France. « J’ai suivi de près le match, entre Internet et les SMS qu’on m’envoyait. Je n’y crois pas. J’y croirai quand je les verrai avec la coupe. »

Il n’est pas le seul à être survolté ce matin. Tous les supporters le sont. Surtout ceux qui ont assisté au match, à l’instar du président du club, Jean-Claude Gley. « Tout le monde est fier, exulte-t-il. Comment dire autrement ? » « Ils ont réalisé un exploit. C’est un des derniers matchs à l’extérieur. Mais c’est comme s’ils avaient joué à domicile tellement on a fait de bruit », dit en souriant le père de Manu, Francis Arnoux, toujours avec une trompe en plastique dans la main.

Avec le reste des supporters, il est revenu de Paris vers 3 h du matin. Et comme les autres supporters, il était à la salle à 8 h pour terminer les préparatifs de la marche gourmande. Le président Gley était déjà là. Mais lui n’est toujours pas couché. Trop excité. Surtout que, comme tous les supporters, il attend le retour des héros, partis à 4 h 30 de Paris.

Il est 10 h 05, le temps se fige quand un bus arrive. Fausse joie, ce sont des participants vosgiens à la marche. Ils sont orientés vers la salle pour s’enregistrer et prendre leur sésame : le verre de dégustation. Et les supporters en profitent pour expliquer le motif de leur joie aux marcheurs, peu au courant de l’actualité sportive.

Fatigués mais heureux

Dix minutes plus tard, le bus des joueurs fait son apparition. Une dizaine de supporters s’avance, jouant de la trompe. Quand les vainqueurs sortent du car, ils tombent dans les bras de leurs soutiens indéfectibles. Les héros sont fatigués mais heureux.

Ils se déplient. Marchent tranquillement vers la salle. Certains fument une cigarette, boivent un café. Les plus intrépides réclament la tournée du président. Manu n’est plus qu’un immense sourire. Il serre fort l’entraîneur, Fabien Drago. Et quand on lui passe le trophée, Manu le regarde longtemps, l’embrasse, puis le brandit en hurlant. Cette victoire, elle est à eux pour toujours.

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29 mars 2016

LE KABCA EN FINALE !!!!..... LES TROIS ARTICLES DES DNA....

J’en avais les larmes aux yeux »

 

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À la tête du KABCA depuis trois ans, Jean-Claude-Gley a vécu à Chamalières sa plus belle émotion de président. En attendant Bercy ?

 

Il n’a pas regretté  le voyage en Auvergne. Et les kilomètres du trajet retour, qui s’est achevé par une réception à la salle Faller dans la nuit de dimanche à lundi, ont été « plus faciles » à avaler qu’un jour de défaite. Jean-Claude Gley, le président du KABCA, revient sur la qualification historique de son club pour la finale du Trophée Coupe de France.

 

– Comment avez-vous vécu ces deux matches et notamment le quart de finale indécis (80-79) face aux espoirs de Pau ?

 

– Contre Pau, on gagne d’un point et le palpitant en prend un coup. Le résultat aurait pu basculer d’un côté comme de l’autre. Les joueurs ont fait un match sérieux mais j’avais peur qu’ils soient fatigués pour la demie contre Angers. Mais ils ont encore réalisé une superbe performance (89-73) en étant encore plus impliqués.

 

« Ma plus belle émotion »

 

– Est-ce que ça n’a pas été difficile de se reconcentrer tout de suite après le mano a mano victorieux contre Pau ?

 

– On s’est remobilisé tout de suite. À 23h, tout le monde était au dodo, dirigeants compris (sourire).

 

– En tant que président du KABCA, venez-vous de vivre votre moment le plus fort ?

 

– C’est ma plus belle émotion. J’en avais les larmes aux yeux. Je ne peux pas le décrire. C’est une immense joie pour moi et les joueurs qui sont allés chercher cette qualification au fond de leurs tripes. Ça récompense aussi l’investissement de tous les bénévoles les soirs de match.

 

– Désormais, il va vous falloir préparer la finale à Bercy…

 

– Il faut déjà savoir combien de personnes vont y aller. Dès mardi (aujourd’hui) , on va contacter des autocaristes. Il y a six ans (pour la finale de 2010) , on était parti à 1 500. Là, j’ai déjà reçu plein de messages : ‘‘ On va à Bercy ! ’’

 

On va certainement faire une réunion extraordinaire avec le comité pour préparer ça au mieux. Le seul inconvénient, c’est que notre marche gourmande a lieu le lendemain (1er mai) de la finale…

 

– Le KABCA peut viser légitimement le Trophée Coupe de France mais reste aussi en course pour les barrages d’accession en Nationale 1…

 

– Tout le monde l’espère. Sur ce que j’ai vu ce week-end, on a les moyens de gagner. Maintenant qu’on sait qu’on va à Bercy, on va pouvoir jouer l’esprit plus libéré en championnat. Les joueurs sont de grands garçons, je leur fais confiance pour ne pas se relâcher.

 

On va prendre match après match car il reste encore des gros morceaux à l’extérieur comme Jœuf, Oullins ou Pont-de-Cheruy. Mais il y a possibilité de faire quelque chose de beau également en championnat.

 

« La N1, forcément, on y pense, on en parle »

 

– Cette belle saison valide-t-elle l’orientation semi-professionnelle prise par le club ?

 

– Je pense que ça valide notre stratégie. On a fait du bon boulot avec l’équipe ‘‘ une ’’, dans la recherche de sponsors. Quand je regarde notre équipe actuelle comparée à celle qui est montée en N2, il n’y a pas photo. Les Schaal, Berquier, Sreten (Cabarkapa) …

 

Je pense qu’on peut aller encore plus haut. Mais il faut aussi avoir les finances qui vont avec. La N1, c’est un autre monde. Forcément, on y pense, on en parle.

 

Mais Kaysersberg ne se mettra jamais dans le rouge. On ne va pas tuer le club car derrière, il y a des jeunes qui arrivent. Mais avant de faire des projections, il faut déjà gagner des matches. Je pense qu’on sera fixé après le déplacement à Pont-de-Cheruy (le 23 avril).

 

Les play-offs, ça serait la cerise sur le gâteau. Moi, je me contente déjà de ce week-end, car beaucoup de personnes ne donnaient pas cher de notre peau. Et finalement, on va à Bercy…

 

 

« Quelque chose de grand »

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En mission commando, ce week-end à Chamalières, Kaysersberg a composté son billet pour la finale du Trophée Coupe de France. Les joueurs ont communié avec leurs dirigeants et une poignée de supporters, dans la nuit de dimanche à lundi.

 

 

Ils ont eu droit à une haie d’honneur improvisée, dans l’entrée de la salle Théo-Faller. Rentrés d’Auvergne sur les coups de minuit, après six heures de minibus, les Kaysersbergeois ont été accueillis en héros par une trentaine d’inconditionnels, dans la nuit de dimanche à lundi.

 

Dirigeants, bénévoles, supporters... Tous souhaitaient saluer la performance majuscule réalisée par le KABCA, qualifié pour la deuxième fois en sept ans (2010, 2016) pour la finale du Trophée Coupe de France, prévue le 30 avril (17h30) à Paris-Bercy.

 

La présence de ce comité d’accueil – qui répondait à un appel lancé quelques heures plus tôt sur la page Facebook du club – a profondément touché toute l’équipe, en particulier le coach Fabien Drago, dont les yeux brillants trahissaient une sincère émotion.

 

« Bercy, on y va rarement dans sa vie »

 

Durant une petite heure, les gladiateurs haut-rhinois, magnifiques d’abnégation ce week-end à Chamalières (Puy-de-Dôme), ont bravé la fatigue et les courbatures pour se refaire le film de leur superbe épopée.

 

Yannick Gaillou, l’intérieur bondissant, s’est remémoré son contre décisif en quart de finale (voir DNA d’hier) , samedi lors de la victoire face aux espoirs de Pau-Lacq-Orthez (80-79). Durant quelques dixièmes de secondes, le temps s’est figé. « Je dévie la balle et elle tape deux fois le cercle avant de ressortir, raconte le Guyanais de 36 ans. Même en la touchant, je me dis que ça risque de rentrer ! »

 

À quoi ça tient, une finale à Bercy... Passé tout près de la porte de sortie, ‘‘ KB ’’ a joué libéré, le lendemain face à Angers Saint-Léonard, au point de tuer le suspense avant même le money-time (89-73 au final). « On s’entraîne toute l’année pour ça, pour remplir les objectifs. On était vraiment en mission, témoigne le meneur Willy Berquier. C’est cool d’aller à Bercy. On ressent beaucoup de soulagement car on sait que les gens ne demandaient que ça. »

 

« C’est un peu l’euphorie, on commence à réaliser ce qu’on a réussi, sourit l’ailier Baptiste Cransac. Toutes ces personnes qui nous ont attendus pour venir nous féliciter, ça fait vraiment plaisir. On vient de faire six heures de trajet, mais je crois que c’est le seul déplacement de l’année qui ne m’a pas embêté (rires) ! »

 

Celui programmé dans un mois dans la capitale ne devrait pas trop l’ennuyer non plus. « Ça reste Bercy, la plus grande salle de France, la plus reconnue. On y va rarement dans sa vie. De nombreux basketteurs, d’ailleurs, n’y sont jamais allés... Disputer une finale là-bas, c’est quelque chose de grand. »

 

« Maintenant, il faut gagner »

 

Invité à s’étalonner dans la vertigineuse AccorHotels Arena, le KABCA tentera de remporter le premier Trophée Coupe de France de son histoire, face à l’Union Rennes Basket. Ce duel de clubs de N2 s’annonce ouvert. « Maintenant, il faut gagner », lance Willy Berquier, qui a déjà fréquenté Bercy à deux reprises, « en 2003 et 2005 avec les cadets France du Mans ». « Si on y va juste pour visiter, ce n’est pas la peine, renchérit le chef d’orchestre kaysersbergeois. On se doit de mouiller le maillot et de donner le meilleur de nous-mêmes. On a confiance en nos forces. Sur un match, on peut battre n’importe qui. »

 

Yannick Gaillou a lui aussi vécu une expérience, malheureuse, dans la plus prestigieuse enceinte hexagonale. « J’y ai perdu une finale de Pro B en 2012, sous le maillot de Boulazac (87-78 contre Limoges) », précise l’ailier fort.

 

Ce n’est pas pour cela qu’il boudera son plaisir, à l’heure d’y retourner. « C’est toujours excitant d’évoluer dans une salle comme Bercy, ça n’arrive pas tous les jours. Ça récompense, surtout, notre beau parcours. »

 

Et de conclure, en connaissance de cause : « Une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne... »

 

Cabarkapa, Bercy beaucoup !

 

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Qualifiés pour la finale du Trophée Coupe de France, programmée le 30 avril au sein de la plus prestigieuse salle parisienne, les Kaysersbergeois peuvent remercier leur intérieur monténégrin Sreten Cabarkapa (31 ans), grandiose ce week-end à Chamalières.

 

 

Adossé à l’un des murs du petit club-house de la salle Théo-Faller, Sreten Cabarkapa est resté fidèle à lui-même, dans la nuit de dimanche à lundi, au moment de commenter son énorme performance individuelle (29 points), samedi face aux espoirs de Pau-Lacq-Orthez. L’intérieur du KABCA a eu beau porter son équipe sur ses larges épaules, en quart de finale du Trophée Coupe de France, il n’a pas souhaité se laisser bercer par les louanges. « C’est bien, j’ai été adroit, mais je n’aime pas trop me mettre devant le collectif, confie l’ancien joueur du WOSB. On a tous fait quelque chose pour remporter ce match-là. On gagne et on perd ensemble. »

 

« Il a été monstrueux »

 

Cette modestie, toute naturelle chez ce grand Monténégrin de 2,03m, a le don de faire sourire Jean Freyburger, admiratif devant les prouesses de son coéquipier des Balkans. « Il a été monstrueux ce week-end », insiste l’arrière kaysersbergeois, comme pour nous inciter à offrir à Cabarkapa la lumière qu’il mérite, même s’il la fuit.

 

Le principal intéressé, encore auteur de 17 points dimanche devant Angers Saint-Léonard, préfère retenir l’osmose qui habite le groupe haut-rhinois, ingrédient essentiel, selon lui, pour vivre ce genre d’épopée en coupe. « À la fin de la demi-finale, on a tous explosé de joie, raconte le héros discret du KABCA. On s’est pris dans les bras en se disant : ‘‘ On l’a fait ! ’’ On a aussi évacué le stress, parce que ce week-end était stressant. On s’est complètement relâché… Depuis août, on est sur le terrain tous les week-ends. Ça fait plaisir d’aller au bout de l’aventure. »

 

La perspective de disputer une finale à Paris-Bercy, dans une immense enceinte de 15 000 places en configuration basket, enchante Sreten Cabarkapa. « C’est un grand bonheur, s’enthousiasme l’intérieur kaysersbergeois. On va évoluer dans une salle très grande, emblématique, où se sont déjà jouées de nombreuses finales. J’espère que nos supporters seront derrière nous. Ces derniers jours, ils nous ont beaucoup soutenus sur les réseaux sociaux. »

 

S’il reste de marbre devant ses propres performances, le sympathique colosse de ‘‘ KB ’’ n’est évidemment pas insensible aux marques d’affection...

 

11 mars 2016

AG DU TIR 6 MARS 2016...

 

Façon bibi avec des noms d’oiseaux cette fois-ci (et le conseil éclairé, je dirai même lumineux, de Gilbert MASSON), bon je commence à tire d’aile…..

 Coucou les amis (ies), j’enfile mets haut-de-chausses, mes Aigle quoi, et ma grosse doudoune, c’est qu’il caille ce matin ! Aujourd’hui geai rendez-vous au stand de tir, je suis à mégalure et récupère le barbu d’Henri en passant. Prion que nous arrivons à l’heure…mais je suis serin.

Tête de linotte que je suis, j’ai oublié mon inséparable bloc brouillon, c’est mauvais Cygne.

Je vois déjà le regard moqueur d’Henri….c’est bon il ne sort pas le martinet. Il est brillant, même reluisant, mais un peu barge parfois J

Chouette, nous sommes à l’heure ! Je me garrot stand comme un fou et nous plongeon dans la salle. Le chevalier et les apôtres nous attendent…..ça râle….je me suis loupé d’un ¼ d’heure, j’ai une cervelle de moineau et me suis trompé sur l’horaire, grallaire, grallaire. Bon, je ne vais pas faire la politique de l’autruche, c’est moi le dindon de la farce. Faisan contre mauvaise fortune bon cœur je m’excuse platement.

 

1/ Remerciement

 Monsieur Roland Muller, le président, tient le crachoir (c’est pas un oiseau) pendant un moment pour remercier les membres présents, le comité, la ville pour les subventions et toutes les petites mains qui viennent tenir le stand tous les dimanches matins. Le club a pris de l’ampleur, il ne compte pas moins de 58 membres actifs reparti de la façon suivante, 31 licenciés et 27 loisirs. Pour 2017 iora le quarantième anniversaire du club, c’est pas les milan mais c’est l’occasion de faire peut-être une belle fête et onoré cette salle en lui donnant un nom….enfin ça c’est ma proposition J…bon, « faucon regarde » me dit le président.

  

2/ appel des membres

 Belle assemblée, j’ai rarement vu autant de tireurs à l’AG, pas trop de tir au flanc pour une fois. Le quorum est atteint et permet de continuer la réunion sans coup férir. Parmi les personnes présentes, une coquette,, un belge flamant, un col vert et un corps beau…..qui m’émeu.

  

3/ lecture et approbation du CR de l’assemblée générale du 28/02/15

 C’est Claude FUCHS (renard mangeur de poule) qui s’exécute et lit d’une diction parfaite ce compte rendu.

  

4/ rapport financier

Au départ je m’effraie, mais les indicateurs sont bons, tout héron.

  

5/ réviseurs aux comptes

 Les réviseurs, comme des vautours, ont épluchés les comptes et n’ont trouvé aucune faille. Ils proposent de donner quitus au trésorier et le remercie pour l’excellente tenue des comptes.

 

6/ désignation des nouveaux réviseurs aux comptes

 Raphaël STEHLI et Michael FAIVRE ….on prend les mêmes et on recommence.

 

7/ rapport d’activité

 Les membres ont assurés 28 permanences les dimanches matins, pour un total de plus de 240 visiteurs (visiteur = ni membre ni licencié).

Pour la fête du sport le club a accueilli 126 sportifs, comme d’habitude les personnes qui ont testés le tir à la fête sont revenues au cours de la saison. Au concours de tir  du mois de novembre c’est Sébastien HUBER qui était le roi, Virginie KAYER était la reine et chez les pitchouns c’est Yann FAIVRE  qui devient l’aiglon.

 

8/ divers

 

-        Martin MEYER, martin tireur mais pas pêcheur, quitte le comité mais reste néanmoins membre du club.

-        Une assemblée générale extraordinaire est planifiée en juin pour valider les nouveaux statuts et le règlement intérieur (merci à Raphaël STEHLI pour le travail fournit)

-        Toujours le même Raphaël qui va créer un site internet pour le club !

-        Depuis la nouvelle saison il y a deux animateurs diplômés au club, Gérard SIGLER et Bruno KAYSER, bravo à eux !

-        Jean-Louis WIHLM rejoint le comité

-        La réouverture du stand aura lieu le dimanche 3 avril 2016

-        Une nouvelle activité est prévue, le tir à l’arbalète, elle se pratiquera au sous-sol sur l’ancien pas de tir de 10 mètres.

-        Des nids de poules, toujours les mêmes poules qui passent d’une vallée à l’autre, et oui, souvenez-vous des nids de poules qui sont sur le chemin devant l’étang du Toggenbach ! donc, je disais, avant de m’égarer entre deux virgules et perdre mon fil d’ariane, qu’il y a des trous, des nids, des creux, des abimes, des gouffres, et pas des pics, qui jalonnent la montée vers le stand de tir….à voir avec les services compétents.

8/ mairie

J’avais dit l’année dernière : « Le représentant de la ville, bibi quoi, fait remarquer que l’ambiance est plus sereine et que dans un club il y a des hauts et des bas et que là c’est une période qui est plutôt basse, mais que ça va remonter…..franchement si c’est pour des banalités autant ne rien dire J »….mais j’avais raison !  J’avais également présenté l’étude sur l’implantation des toilettes pour personnes à mobilités réduites et dis qu’elle s’intégrerait bien dans le décor et …..J’avais raison !

Fin de la réunion à 12h00, pile-poile l’heure de l’apéro…si ça c’est pas un hasard ! kougelopf et vin blanc, mais là j’ai puffin…..je suis fatigué, c’est où condor ?

Une brève pour finir : paon !

  

Bien sportivement

 

7 mars 2016

L'AG DES CLUBS DE PECHE.....

COMPTE RENDU ASSEMBLEE GENERALE DU CLUB DE PECHE DU SAMEDI 27 FEVRIER 2016

 

Après le fromage, le poisson…..la première ou le premier qui me donne le nombre exact de poisson dans le texte gagne un ticket de grattage «  horoscope », poisson, évidemment (valeur du lot, 2 euros, les règles du concours sont déposées chez maitre BLAGEON 13 rue Marbré 80560 COLIN CAMPS)

 

1.           ouverture

Me voilà à nouveau avec mon vieux tacaud pageot, c'est plutôt un mulet qu'un turbot. Le rendez-vous était à l'étang du toggenbach à 10h. Je gare mérou à 10h02 sur le parking je suis encore une fois en retard, du coup cela grondin petit peu quand je rentre dans la salle. Ils me regardent tous avec des yeux de merlu.... Ou de merlan frit, c'est tout comme.

Les forces vives du club sont là, toujours les mêmes. Mais n'espadon Alphonse à côté de René ? Et oui c'est bien lui.... Elbot au fond de ce lieu c'est Sébastien, toujours présent !

Le trésorier et le secrétaire sont absents excusés, après la minute de silence en hommage à Michel Bauer, René n'a pas le cœur à lire le contre-rendu de l'année dernière. Étant donné que je suis à côté de lui et que j'ai une belle voix de fausset, il me tend la perche que je saisie sans un plie, je hausse le thon et hareng l'Assemblée ; cétacé, carpe et diem mes amis, c'est quand même un congre.

Le compte rendu de l’assemblée générale du 28 février 2015 est approuvé à l’unanimité.

 

2.           premier acte

 

Le rapport financier. À raie des comptes, ils sont bons, pas d'ombre au tableau. Une belle brochet (te) de réviseurs aux comptes proposent de donner quitus au trésorier. Unanimité.

 

3.           Second acte

 

- Ouverture de la saison le 12 mars à 7h, fermeture le 14 septembre. Le comptage électrique a été effectué mais le club n'a pas encore les chiffres. Le prix de la carte de pêche reste inchangé : 30 euros.

L'année dernière nous avions parlé du creux à l'entrée droite de l'étang, creux à combler, ce n'est toujours pas fait.

Combler également les nids de poule qui sont sur le chemin. Le toit des anciens WC fuit, serait-il possible de poser des tôles ondulées ? On me signale également que les berges de la rivière côté match, sont très sales... Qui s'occupe du nettoyage ?

Serait-il possible d'avoir une copie du contrat de bail pour l'utilisation de la WEISS ? Pour les travaux nous vairon avec Didier Sonet et le groupe travaux.

 

4.           La finale

 

Silure du pot, anguille se de choix (ou d'anchois) c'est bière ou crémant. Je m'accoude au bar, mais gardon un œil sur son verre... Le pêcheur est taquin avec le verre. Pas de pot sans kougelhof (c’est le dicton de straumann) un salé et un sucré... J'ai trouvé chapon.... Pas mauvais quoi....

Fermer le ban de poissons....

22 février 2016

AG judo 2016.....

Je vais ponctuer ce compte-rendu de quelques photos du toit du dojo et de noms de fromages, non pas parce que je m’appelle Bridel mais parce que le toit est un vrai Gruyère. On commence….ça va Beaufort tout de suite….

 Jefou en Machecoulais mon Bourricot Cabrioulet devant la salle et cours coucouron jusqu’au Dojo car le temps est Comté…..et que je suis en retard !

J’appuie sur le Bouton de la porte et prends direct un Coup de Corne dans le crottin du Berry (endroit que je ne pourrai pas nommer autrement ici) «  Metton Grand Tomachon (c’est le petit nom que m’a donnée Agnès la présidente)  que tu aies une réunion avant, ton Sourire de Petit Billy ou de Petit Suisse ne fait pas tout ! ….le silence est Rond pis par ma Brique «  ouhh, il va falloir me Caussedou, Civray que je suis en retard, Lossaba si tu es au courant mais je connais le maire de la ville et tu Leconet aussi ! »

 

                       

 

17 personnes présentes.

 

1/ la présidente a fait la lecture du rapport de l’AG de janvier 2015 (voir mon CR de l’époque sur le blog du sport…..adresse ci-dessous). Approbation du rapport par l’ensemble des membres présents. Autun dire que tout va bien.

2/  Tomme deux, rapport moral : la présidente, encore elle, reconnait l’excellent travail des entraineurs et des aides entraineurs et remercie la présence quasiment journalière de Thomas Keller et Benjamin Ludwig. Pour la saison 2014/2015 le club Comté 153 licenciés ; 99 hommes et 54 femmes. 90 de ces licenciés ont moins de 18 ans. Le club a encore une fois organisé 3 tournois districts en association avec le club des 3 châteaux.

Le club fini :

-        13ème sur 91 au tournoi Schuller

-        9ème sur 49 au tournoi Scherrer

-        8ème sur 25 au tournoi de Colmar

Une vente de survêtement, en partenariat avec Passeport, sera faite en février ou mars 2016. Un stage en été est peut-être programmé, il faut juste trouver les encadrants pour ce stage !...au fond de la salle j’en vois Kiri, c’est qui ce Trou du Cru ?

 

 

 

 

3/ rapport financier. Lecture faite par la présidente, toujours elle, la fin de saison se solde par un solde positif à 247 euros ( y’a pas Abondance mais ça va). Elle en profite pour remercier la commune pour le versement des différentes subventions pour un montant total de 5580 €

 

4/ rapport des réviseurs. Patrick PIERRE-CHARLES et Maxime DEVIN ont pris connaissance du bilan et n’ont constaté aucune anomalie. Ils ont approuvé la bonne tenue des comptes et proposent de donner quitus à la trésorière. L’ensemble des membres présents suit l’avis des réviseurs et sonne quitus à Josiane.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5/ rapport Sportif : Thomas KELLER, le Beaufort, souligne les bons résultats en particulier chez les benjamins qui se classent dans les 10 premiers à chaque compétition. Les poussins et mini-poussins ne sont pas en reste puisqu’ils finissent 6ème sur 47 au tournoi Scherrer. Solène WINTERMANTEL, la Belle des Champs, a été sélectionnée dans l’équipe du Haut-Rhin pour participer aux championnats de France…..et l’équipe du Haut-Rhin finit deuxième !!!

Annot(é) que Diane PIERRE-CHARLES (17 ans), la dernière ceinture noire du club a combattu en match amical contre la championne du monde Audrey TCHEUMEO, elle s’en sort avec quelques Bleus….pour comparer ; c’est comme si le club de foot de KB, les SRK, jouait un match amical contre le FC Barcelone….ouais, c’est ça.

6/ renouvellement du comité. Les deux Véronique, BRUN et KLOSS, sont démissionnaires (je parle pas de la position), nouvelle dans l’équipe : Carole DENTZ

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7/ parole au représentant de la mairie…..c’est bibi ( sacré Boucantrin)

L’étude, la dernière, pour l’agrandissement du Dojo, n’est pas encore aboutie, nous attendons encore les documents du cabinet d’architecte et nous tiendrons, évidemment, le club informé. Le plus urgent est l’étanchéité du toit, la commission des travaux passera avec l’entreprise PILZ pour évaluer l’étendue des dégâts et faire un devis de remise en état.  Mais ne vous plaignez pas les amis, ne faites pas de Caprice des Dieux, je ne veux pas jeter de pavé d’affinois dans la mare mais dans le Grand Carré de l’Est vous n’êtes quand même pas mal loti ! Sachez, cher camarades sportifs, que la ville de Kaysersberg Vignoble, soutient, et soutiendra encore longtemps les associations de la ville, car vous êtes le socle, après la famille et l’école, de l’éducation de nos chérubins. Car oui, il faut souligner le rôle de ces clubs et de leurs bénévoles qui, tout au long de l’année, sont au service de la population en donnant de leur temps et en éduquant les plus grands mais surtout nos enfants. Sans ces bénévoles et leur dévouement quotidien, rien ne serait possible. En même temps notre ambition est d’encourager tout le monde à rejoindre ces bénévoles pour les saisons à venir. Alors, j’espère vous retrouver toujours plus nombreux avec cette même envie et cet esprit qui dicte les valeurs sportives ; le don de soi, la solidarité, l’humilité et la loyauté…bon je l’ai pas dit comme ça mais j’aurai puJ, en espérant ne pas avoir fait de Boulette.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Fin de la réunion à 22h00 tapantes, avec une pression amicale, je me Régal, Trinqueux les amis ! Allez, on Sancerre encore une petite Goutte ! Bon, je rempli ma Besace de Thérondels desaucisson et j’y vais ! Et je suis reparti dans l’obscurité et un Amour de Nuits.

 Les fromages sont en gras…..évidemment 

 

 

Cordialement / Mit freundlichen Grüßen / Best regards

Christophe Bridel

Adjoint au sport

VILLE DE KAYSERSBERG Vignoble

Courriel :pascale.bridel@wanadoo.fr

Internet : : http://sportkaysersberg.canalblog.com/

 

Et les noms des fromages et l’origine : Abondance, Haute-Savoie, AOC 1990 ;Amour de Nuits, Bourgogne ;Annot, Languedoc, Côte d'Azur ;Autun, Bourgogne ;Beaufort, Savoie essentiellement, ;Belle des champs, Aisne, Picardie ;Besace, Savoie ;Bleus Bleu d'Auvergne, ;Boucantrin, Dauphiné ;Bouchon ;Boulette d'Avesnes ;Bourricot, Cantal, Auvergne ; Bouton d'Oc, Midi-Pyrénées ; Brique ardéchoise, Rhône-Alpes ; Caussedou, Quercy ;Caprice des dieux, Haute-Marne ; Carré de l'Est, Lorraine et Champagne ; Civray, Poitou-Charentes ;Comté, Franche-Comté ; Coucouron, Ardèche, Rhône-Alpes ;Coup de Corne, Ariège ; Délice de Bourgogne, Bourgogne ; Grand Tomachon, Bourbonnais ; Gruyère, Savoie ; Jefou, Tarn, Midi-Pyrénées ; Kiri, Sarthe, Pays de Loire ; Leconet sec et frais, Corrèze, Limousin ; Lossaba, Pays basque, Aquitaine ; Machecoulais, Loire Atlantique, Pays de Loire ; Metton, Franche-Comté ; Pavé d'Affinois, Loire ; Pavé d'Auge, Basse-Normandie ; Petit Billy, Ille-et-Vilaine, Bretagne ; Petit-suisse, Haute- Normandie, Pays de Bray ; Picadou, Quercy, Midi-Pyrénées ; Régal des moines, Bourgogne ; Rond pis, Bourgogne ; Sancerre, Sologne, Centre Val de Loire ; Sourire lozérien, Lozère, Languedoc-Roussillon ;Thérondels, Aveyron ; Tomme d'Auvergne, Auvergne ;Trinqueux, Bourgogne ;

8 février 2016

KAYSERSBERG NATATION....LE DUEL DES MAMYS DANS LES DNA.....

Onze ans les séparent et pourtant tout semble les rapprocher, Yvette Kaplan-Bader et Christiane Ketterer.

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Ce ne fut pas le 100m (crawl) le plus rapide des Championnats, mais ce fut sans nul doute le plus suivi : Christiane Ketterer (Schiltigheim/Bischheim), 76 ans, y a battu Yvette Kaplan-Bader (Mulhouse), laquelle va sur ses 88.

Deux catégories d’âge les séparent, la cadette se plaît à effacer les records (de France) de son aînée, pourtant leurs histoires se ressemblent.

« Le crawl, c’était trop viril »

Toutes deux ont commencé tôt, bien avant d’avoir dix ans. Dans la famille de chacune, on aime l’eau. Le grand-père d’Yvette fut « le premier maître-nageur de Mulhouse, dans les années 1900 ». Le papa de Christiane, qui s’appelait alors Hirth, était conseiller technique régional. Toutes les deux ont été mises sur la brasse. « Le crawl, c’était trop viril, à l’époque », sourit la Haut-Rhinoise.

Christiane collectionne vite les titres régionaux, puis nationaux, jusqu’à décrocher un record de France du 100m brasse – « en 1’26, quelque chose comme ça » – et des sélections nationales. Elle manquera juste les Jeux de Melbourne (1956) pour cause d’orteil cassé. « C’était mon grand regret. »

Yvette, née en 1928, a été championne d’Allemagne et se souvient de compétitions “nationales” disputées à Berlin. « Mon mouvement était moitié brasse, moitié papillon. Alors, quand je suis arrivée en championnat de France, après la guerre, je les battais toutes, les autres, avec ma technique. » Elle en rigole encore.

À la vingtaine, les deux stoppent, là, leurs parcours aquatiques, laissant la place à leurs carrières d’enseignante. Christiane a été mutée à Nilvange, commune sans piscine, puis elle a eu ses quatre enfants. Yvette a bossé en Afrique du Nord, n’a pas poursuivi non plus. La Bas-Rhinoise a pris soin d’apprendre à bien nager à sa descendance, Yvette a tôt perdu fils et mari, la même année.

« Vieille, je le suis forcément, mais personne ne me voit vieille »

Les deux ont repris la natation à un âge adulte bien avancé, de suite chez les maîtres. « J’ai toujours aimé nager, glisse Christiane. Ça fait du bien à mon corps. J’ai des prothèses, je ne me tiens pas bien quand je suis debout. Mais dans l’eau, je me sens bien. J’aime nager vite. »

« J’ai couru, mais je ne cours plus, enchaîne la Mulhousienne. Par contre, tous les jours, je vais à la piscine. Quand j’en sors, j’ai gagné dix ans. Pourtant, moi aussi, le matin, j’ai du mal… »

À leurs âges, ces dames sont des exceptions, avec leurs niveaux, elles font partie des toutes meilleures au monde. « Je suis la seule de ma catégorie (d’âge) à nager encore des 200m papillon et des 400m 4-nages, sourit Yvette. Je ne calcule d’ailleurs plus mes records, de France, d’Europe, du monde. Je nage plus vite que les hommes de mon âge. C’est drôle. Ils doivent se trouver vieux. Et moi ? Vieille, je le suis forcément, mais personne ne me voit vieille. »

Des titres internationaux, la nageuse de Mulhouse en a quelques-uns, elle est l’une des toutes premières à s’être envolée pour des Mondiaux pour maîtres. « Cela ne se faisait pas encore chez nous, en France. La Fédération ne voulait même pas que j’y aille… »

Sa consœur de Léo-Lagrange se réjouit déjà de ses médailles actuelles, d’argent ou de bronze, pas encore d’or. Et patiente avant de passer à la catégorie du dessus (on en change tous les cinq ans), où il y a moins de concurrence.

« Je suis très occupée, entre la maison, la poterie, le jardinage, les chats du village à nourrir… Nager me distrait. La compétition ? J’aime battre des records et j’en ai toujours fait. » Même histoire pour Yvette : « Je suis seule, aller à la piscine me sort de mon isolement. Les vieux, ça se plaint tout le temps. Moi, physiquement ça va ! »

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le sport à KAYSERSBERG
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